Le blog de le séducteur

Elle s'étire sur le lit. Une vraie chienne de luxe. Elle a un déshabillé doré transparent. Ses tétons pointent à travers le tissu, visible comme sous un voile. Sous ses fesses, l'ensemble remonte juste au dessus du haut de ces cuisses, mets en valeur son intimité, ce petit sexe parfaitement rasé, cette petite entrejambe où un petit carré brun rappel ses cheveux soyeux. Sa peau est délicieusement brulante, doré à souhait, son corps est intégralement bronzé, cela lui donne des jambes encore plus longues, une poitrine ferme et pulpeuse, elle est parfaite même nue.


La coquine se frotte contre moi, ses jambes écartées, elle s'ouvre, avance, recule, ses seins contre moi, elle écarte encore plus ses jambes, ouvre son intimité, cambre ses fesses pour mieux s'offrir. Elle doit dégouliner sans retenue. Son string détrempé de plaisir de la veille a embaumé ma poche, humm, quelle odeur. C'est presque sale, mais quelle excitation. Toute la journée, son odeur, son désir honteux ont envahi l'atmosphère autour de moi.
Continue à t'offrir, je vais te prendre comme tu le mérite. Elle a les yeux dans le vide, elle est folle de désir ses cuisses sont écartées à l'extrême, son petit cul en l'air... Elle s'approche un peu plus de moi, son regard de chienne rivé dans le mien. Elle me montre ses seins, sa poitrine parfaite, ses tétons turgescents qui pointent vers moi trahissant encore plus son désir. Je la touche comme je peux, la frôle, la plote, lui malaxe les fesses. Elle adore. Sans autre préavis, elle s'empale d'un seul coup sur mon sexe. A peine un petit gémissement, les yeux fermés, elle encaisse bien la salope. Je lui donne quelques coups de reins, empalant mon sexe bien au fond de son vagin ;



j'abuse d'elle, elle ne sait plus se tenir, recherche son souffle. Mais la voici reprenant déjà le dessus, elle donne à son bassin des mouvements de va et vient s'empalant bien à fond, frottant son clitoris sur moi. Je lui confie dans le creux de l'oreille que j'aurai bien voulu voir une petite pute à la porte de la chambre de l'hôtel. Une vague de désir inonde mon sexe, elle se lève pourtant sans hésiter et la voici enfilant son petit déshabillé soyeux. Tu viens me dit-elle d'un air coquin. La voici dehors, je referme la porte, elle frappe. Je la regarde par l'œilleton, elle est si belle, ses belles jambes, ses cuisses... J'ouvre, elle se jette sur moi, m'embrasse à pleine bouche, mon sexe dur s'insinue entres ses jambes. Elle ondule de désir, halète, bave. Je la force doucement à s'agenouiller, mon sexe énorme s'engouffre dans sa bouche, je lui tiens les cheveux, fermement parfois, ou la caressant. Elle adore, avale, bave, reprend son souffle. Je la retourne, elle se retrouve devant le miroir de l'entrée, s'admire, se jette des regards de salope. Je lui donne des coups de boutoirs, elle ferme les yeux, gémis. La coquine adore, elle s'ouvre encore plus fort, je dégouline, je dégouline, humm c'est trop bon. En effet, mon sexe est trempé de son désir, son vagin est une cavité immense, distendu par son désir ou mon sexe se perd. Un coup de rein plus fort et la voilà le visage contre le sol, je la plaque par les cheveux d'une main tout en la défonçant de plus belle. Son cul offert est une merveille, il est beau , rebondi, dégoulinant. Elle halète de plus en plus fort crie son plaisir, sa langue lèche au hasard, je redouble mes efforts, elle crie, inonde mon sexe. Soudain ses yeux regarde dans le vague, elle s'accroche à ma main, gémit moins fort, le souffle court, plaque ses fesses sur mon sexe, son vagin est agité de délicieux spasme... Qu'elle est belle...Je ne peux pas m'empêcher d'inonder ses fesses de mon plaisir.
Elle se relève simplement me regarde de son petit sourire : Merci monsieur et se dirige vers la salle de bain. Quelle vision, ce corps de rêve ces hanches parfaitement dessinées, ces longues jambes... Mais la porte se referme.
Ven 15 mai 2009 Aucun commentaire